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Dériveur léger en double de type simplet de 1957 construit aux chantiers Vandernotte à Nantes coque numéro 84 en V léger à simple bouchain, vernie pont entoilé vert bouteille. Safran relevable, dérive sabre, gréement de sloop à voiles blanches, mât avec étai et deux haubans sans barre de flèche. Bôme tournante prévue pour enroulement de la voile et écoute avec croissant de bôme. Protégé au titre des Monuments Historiques le 06/02/2018.
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
Don Michel REYNIER au Musée Maritime de La Rochelle. Unité arrivée a par l'intermédiaire de Patricia Bouladour, salariée du musée en 1999.
Les objectifs visés dans la réalisation du plan du simplet était de dessiner une coque performante mais aux formes développables pour utiliser le contreplaqué dont on découvrait à l'époque les possibilités. Deuxièmement à trouver un procédé adapté à la construction amateur, moyen souvent choisi par des nouveaux plaisanciers aux motivations fortes mais aux revenus souvent modestes.
Au début des fameuses "Trente Glorieuses" on rêvait de la société de consommation… Maurice Amiet avait beaucoup travaillé dans cet esprit en inventant des formes "à gabarit unique" et "à bordé à développement cylindrique", ce qui facilitait beaucoup la construction en évitant de modeler le contreplaqué dans tous les sens. Les dimensions du bateau étaient aussi calculées pour économiser la matière première et éviter les chutes. Ce bateau fait partie des séries qui essayèrent de concurrencer le célèbre "Vaurien", sans beaucoup de succès.
Complet, naviguant, exposé. Très complètes restaurations par l'A.F.P.A. de Rochefort en 2004 et A.A.M.M.L.R. en 2014.
Coque : Le Simplet (poupe, bâbord)
Don Michel REYNIER au Musée Maritime de La Rochelle. Unité arrivée a par l'intermédiaire de Patricia Bouladour, salariée du musée en 1999.
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