Dériveur léger en double type "Flying Dutchman" construit vers 1952. Coque en forme de construction classique sur membrure selon la jauge de la série avec pontage avant et arrière, caissons latéraux, dérive pivotante. Protégé au titre des Monuments Historiques le 06/02/2018.
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
Donation de l'Association des « Bois flottants » des Sables d'Olonne (en échange du Blin voir fiche 47)
Le nom "flying Dutchman" a été choisi en référence aux premiers voiliers légers capables de planer créés par l'anglais Uffa Fox et qui étaient tous dénommés "Flying …" et au légendaire Hollandais volant voilier mythique supposé servir d'enfer flottant aux mauvais marins, qui inspira un opéra à Richard Wagner. Équipé d'un trapèze, d'un spinnaker et d'un génois, c'est un dériveur à deux équipiers, très rapide, cher et sophistiqué. Longtemps série olympique, de 1960 à 1992, il a connu de nombreuses améliorations, évolutions : utilisation du bois moulé puis du polyester et des fibres à haute performance carbone et kevlar pour la coque, invention du double avaleur de spi par les frères Pajot aux Jeux Olympiques de Kiel 1972 (médaille d'Argent)... De grands champions ont pratiqué le FD, notamment le barreur anglais Rodney Pattison, véritable maître de la série. Les principaux chantiers constructeurs : Bob Hoare (Angleterre), Lanaverre et Jean Morin (France) Bianchi et Cecchi (Italie), Mader et Hein (Allemagne)... Le Rochelais Bertrand Cheret s'est illustré sur l'unité entrée en collection.
Restauration importante à réaliser.
Donation de l'Association des « Bois flottants » des Sables d'Olonne (en échange du Blin voir fiche 47)