Cette flûte à quatre trous en bambou (Bambusa vulgaris) est percée de quatre rectangles alignés. À l'autre extrémité, une une lamelle large de 0.5 cm à été faite par une incision dans le sens de la longueur.
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
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17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
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[...] Upa upa... « sortes de danses », nous apprennent les dictionnaires tahitiens. Le mot a une très large extension et masque beaucoup de choses, qui, elles-mêmes, ont beaucoup évolué.
Au début du règne de Pomaré, la upa upa est un reliquat, demeuré très vivace, des spectacles donnés par les Areoï, confrérie ambulante de divertissements en tous genres dont raffolaient les Tahitiens du début du 19e siècle.
Cela tenait du récital de musique religieuse avec la narration mélodique des exploits des dieux, du spectacle de cabaret par un côté satirique et moqueur, tout à fait dans le génie de la race, car on pouvait là tout dire impunément sur les chefs, de la pantomime, où chacun reconnaissait à coup sûr les personnages dont on caricaturait les faits et gestes, du théâtre, par des scènes à dialogue, de la danse, enfin et surtout. [...] (in La vie à Tahiti au temps de la reine Pomaré par Patrick O'Reilly, Publications de la SdO, Paris : 1975)