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Description du bois d'un cerf avec légende (A, B, C, D). Cette gravure orne la page 17 (verso) du chapitre 21 de l'ouvrage (Des testes ou rameures des Cerfs, et de la diversité d'icelles).
Ce qui porte les andouillers, chevilleras & esbois, se doyt nommer perche : & les petites fentes qui sont du long de la perche, se nomment gouttières.
A. Cecy se doit appeller meule, et ce qui est autour de la meule, pierreries.
B. Ce premier cors se nomme andoiller.
C. Le Second, Surandoiller
D. Tous ceux qui viennent après jusques à la couroneure, paumure, ou trocheure se doivent noter cors ou cheuilleures.
E. Ces cors qui sont à la sommité de la perche, se doivent nommer Esbois
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
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17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
Caractéristiques
Bois gravé (parmi 57) utilisé pour l'ouvrage intitulé La vénerie de Jacques du Fouilloux, seigneur dudit lieu, gentihomme du pays de Gastine, en Poitou, Niort chez L. Favre, 1888.
Jacques du Fouilloux était un gentilhomme du Poitou, né en 1519 au château du Fouilloux à Saint-Martin-du-Fouilloux près de Parthenay (Deux-Sèvres) et mort en 1580. Grand chasseur, on lui doit le plus célèbre traité français sur la vénerie dédié à Charles IX.
Publié pour la première fois à Poitiers en 1561, cet ouvrage a été fréquemment réimprimé (19 éditions entre 1562 et 1888 dont deux niortaises en 1864 et 1888) et traduit. Le texte de Du Fouilloux fixe les usages et les techniques de la vénerie française qui perdurent. Il y fait la synthèse des traités médiévaux et y codifie surtout la pratique des chasses royales de la Renaissance. Par sa présentation, son ordonnance et les sujets traités, il marque le passage d’une chasse symbole de force et d’entraînement à la guerre, à une chasse de prestige devenue instrument de pouvoir et lieu de sociabilité.
Illustré du célèbre frontispice montrant l’auteur offrant son livre au roi Charles IX et des 56 figures de vénerie gravées sur bois pour l’édition originale, qui sont les prototypes des illustrations réalistes et scientifiques dans ce domaine.
Léopold Favre a repris une partie des bois utilisés pour l'édition de 1864. Ainsi, la version de 1888 est moins développée. Cet ouvrage décrit les techniques de chasse et les différentes méthodes pour aider les veneurs dans l'élevage de leurs chiens de chasse.
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