Cette aquarelle appartient au groupe d’aquarelles à caractère « ethnographique » que Curzon à faites dans le Latium et plus particulièrement dans les localités aux environs de Rome. Elle s’inscrit dans la féconde production de l’artiste, dès après son retour de Grèce, en regagnant Rome et ses environs. Après Olevano, Carsali, Avezzano, Fucino, Canistra et Sora, Curzon parvient à Alvito après le 8 septembre (cf. H. de Curzon, p. 138).
Dans une lettre à Brillouin datée de Rome du 27 septembre 1852 Curzon mentionne qu’ à Alvito, Atine et a Picinisco « les femmes sont charmantes et le costume très bien conservé » (cf. H. de Curzon, p.143)
L’artiste a consacré deux feuilles aux femmes d’Alvito. Celle du musée de Poitiers représente une femme vue de trois-quarts dos adossée à un mur baigné de soleil. Elle porte une longue jupe noir recouverte d’un tablier rouge brun relevé, un corsage blanc, et des manches rouges.
A propos des femmes d’Alvito, Curzon mentionne dans ses carnets de voyage que « les femmes d’Alvito et d’Atina, ont souvent la robe et le tablier noir ou brun, sans que cela indique le deuil » (cf. H. de Curzon, p. 138)
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
Monogrammé et inscription: `Alvito` (en haut à droite); chiffres en bas à droite
(b.d. et au dos)
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