Cette eau-forte appartient aux six eaux-fortes répertoriées par le fils de l’artiste dans les carnets de son père, consacrées à la Grèce (sur un ensemble de dix). Dans une lettre adressée à son ami Georges Brillouin, et datée de Tivoli, 28 août 1850, de Curzon fait part de son goût pour cette technique qu’il apprécie : « Vous ne me parlez pas de l'eau-forte. La pointe n'est pas pourtant plus difficile à rencontrer sous la main que le crayon que vous affectionnez tant, et la cuisine de l'eau-forte est peu de chose. Pour moi, la main me démange. Mais je la réserve pour mon retour en France : ici je veux apprendre à peindre, et réunir des matériaux pour plus tard ».
Henri de Curzon a relevé quelques notes dans les carnets de son père qui, à défaut de souvenirs rédigés apportent quelques précisions sur l’intérêt et les impressions d’Alfred de Curzon pour certains sites et lieux visités ( H. de Curzon, p. 134). Au sujet des bords de l’Eurotas, Alfred de Curzon note : « De Mistra à Léondari : Une demi heure au-delà du pont, bords de l’Eurotas, très beaux, bordés d’arbres dans ravins creux et escarpés. Quatre heures avant Léondari, près des sources de l’Eurotas, pays de l’idéal de l’Arcadie, arbres, bosquets de lentisques, chênes verts. Collines avec arbres, montagnes boisées […] »
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
(S.b.g.)
769 (au dos)
(au dos)
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