Cette eau-forte appartient aux quatre eaux-fortes répertoriées par le fils de l’artiste, consacrées à l’Italie (sur un ensemble de dix), dans les carnets d'Alfred de Curzon.
Dans une lettre adressée à son ami Georges Brillouin, et datée de Tivoli, 28 août 1850, de Curzon fait part de son goût pour cette technique qu’il apprécie : «Vous ne me parlez pas de l'eau-forte. La pointe n'est pas pourtant plus difficile à rencontrer sous la main que le crayon que vous affectionnez tant, et la cuisine de l'eau-forte est peu de chose. Pour moi, la main me démange. Mais je la réserve pour mon retour en France : ici je veux apprendre à peindre, et réunir des matériaux pour plus tard ».
En arrière-plan de cette composition, une vieille femme vêtue à l’italienne, assise au pied d’un chêne à l'orée d'un bois, garde quatre chèvres. Les premiers plans laissés volontairement dans l'ombre, mettent en valeur la chevrière, baignée de lumière.
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
(S.b.g.)
(b.d.)
chevrière italienne (au dos, mine de plomb)
(au dos)