Négatif sur plaque de verre représentant le pignon gauche de la châsse de la Crucifixion de l'église Saint-Pierre-du-Château à Tulle (Corrèze)
- 96.23.1-19Négatif sur plaque de verre représentant le pignon gauche de la châsse de la Crucifixion de l'église Saint-Pierre-du-Château à Tulle (Corrèze), aujourd'hui inscrite à l'inventaire du musée du cloître à Tulle. En forme de maison rehaussée sur quatre pied, cette œuvre d'orfèvrerie en cuivre champlevé, émaillé et doré datée de la fin du 12e siècle ou du début du 13e siècle, est classée Monument Historique depuis 1891 (H. 17,50 cm ; L. 20,50 cm ; numéro Palissy : PM19000429). Sur cette face apparaît un apôtre doré debout sous une arcade de même couleur au sommet de laquelle se trouve une structure maçonnée. De part et d'autre du saint sont figurées six fleurs inscrites dans des cercles et réparties par trois de chaque côté. Deux bandes horizontales traversent par ailleurs l'arcade, le tout sur un fond bleu. Une frise bleue ornée de croix dorées, ainsi que onze clous servant à fixer la plaque de cuivre sur l'âme de bois, entourent cette face, tandis que les pieds de la châsse sont gravés d'un quadrillage. Sur le côté gauche le cadenas - aujourd'hui disparu - qui servait autrefois à fermer la porte de la châsse apparaît.
Description figurant à l'inventaire réglementaire : boîte de 45 plaques de verres photographiques, verre photo, 13 x 18 cm, étiquette "exposition de Tulle", émaillerie, auteur : Ernest Rupin, fin 19e siècle, retrouvées dans sa maison de Brive, boulevard Lachaud.
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
Négatif sur plaque de verre représentant le pignon gauche de la châsse de la Crucifixion de l'église Saint-Pierre-du-Château à Tulle (Corrèze)
Lieu de la prise de vue à confirmer.
Ce cliché s'inscrit vraisemblablement dans un travail de recherche entrepris par Ernest Rupin qui aboutit à la publication en 1890 de "L'Œuvre de Limoges", inventaire détaillé et illustré des émaux limougeauds conservés sur le territoire français.
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