Négatif sur plaque de verre représentant de face le chef reliquaire d'une compagne de sainte Ursule dite sainte Essence (trésor de la collégiale Saint-Martin, Brive-la-Gaillarde, Corrèze)
- 96.23.1-8Négatif sur plaque de verre au gélatino-bromure d’argent représentant, de face, un chef-reliquaire en forme de tête de femme jeune en cuivre embouti, repoussé, gravé, ciselé et doré posé sur un linge blanc. Ce chef-reliquaire (H. 34 cm ; l. 21 cm ; numéro Palissy : PM19000073) a été identifié comme celui d'une compagne de sainte Ursule, dite sainte Essence, grâce à l'inscription gravée sur la face principale du socle, visible sur ce cliché, et dont voici la traduction : "Ici se trouve la tête de l'une des onze mille vierges et martyres" (référence aux 11000 vierges de Cologne) ; au-dessus des pieds du socle se trouvent deux anges à mi-corps dans un quadrilobe inscrit dans un cercle. Cette pièce du trésor de la collégiale Saint-Martin à Brive-la-Gaillarde, datée du 13e siècle, a été classée Monument Historique le 25.06.1891.
Pour les besoins de la prise de vue, cette œuvre a été placée devant un fond clair et uni et posée sur un fond plus clair, de forme quadrangulaire. L'ombre portée derrière la tête est forte, et le visage, peu lisible.
Description figurant à l'inventaire réglementaire : boîte de 45 plaques de verres photographiques, verre photo, 13 x 18 cm, étiquette "exposition de Tulle", émaillerie, auteur : Ernest Rupin, fin 19e siècle, retrouvées dans sa maison de Brive, boulevard Lachaud.
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
Négatif sur plaque de verre représentant de face le chef reliquaire d'une compagne de sainte Ursule dite sainte Essence (trésor de la collégiale Saint-Martin, Brive-la-Gaillarde, Corrèze)
Lieu de la prise de vue à confirmer.
Ce cliché s'inscrit vraisemblablement dans un travail de recherche entrepris par Ernest Rupin qui aboutit à la publication en 1890 de "L'Œuvre de Limoges", inventaire détaillé et illustré des émaux limougeauds conservés sur le territoire français.
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