Habit de lumière
- 2011.7.2.0Habit de lumière composé de la veste, du pantalon, et du gilet ; les autres éléments n'ont pas été proposés au moment de l'acquisition.
Veste: Élément intérieur relativement rigide, doublé à l'extérieur de soie pourpre brodée de fils d'or et pâtes de verre vert émeraude, et de paillettes appliquées, le tout formant des arabesques et motifs végétaux. L'intérieur de la veste est doublée de coton grège. La veste peut se fermer par une élastique et un crochet de métal cachés à l'intérieur.
Pantalon: Fait d'une matière synthétique en maille (jersey) épaisse, doublée de coton grège. Chaque flanc est décoré de bande de soie pourpre appliquée, décorée comme la veste.
Gilet: Fait d'une rayonne pourpre banale ; application de deux bandes de soie pourpre sur le devant décorées d'applications de paillettes ; le motif est différent de ceux de la veste et du pantalon. Le gilet est ajusté par un laçage dans le dos, et fermé sur le devant par cinq crochets de métal.
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
Habit de lumière
La corrida est une forme de course de taureaux à l'issue de laquelle l’animal est mis à mort. Elle est pratiquée dans le sud de la France mais aussi en Espagne, au Portugal et en Amérique latine. Présentée comme une tradition par ses défenseurs, la corrida date de la première moitié du XVIIIe siècle. Les jeux taurins sont bien plus anciens, mais le spectacle de tauromachie (ce qui signifie « combat de taureaux ») a été inventée dans sa forme moderne par Francisco Romero, qui a demandé au début du XVIIIe siècle au public d’une arène andalouse de tuer lui-même le taureau après avoir utilisé un leurre en toile pour fatiguer la bête. Il sera appelé à recommencer son spectacle dans d’autres lieux. De nombreux matadores de toros (des tueurs de taureaux, en français) lui emboîtent le pas. Un premier règlement est publié un siècle plus tard, en 1852, et une véritable codification des mouvements d'évitement du taureau est mise en place.
https://www.lejdd.fr/Societe/cest-quoi-la-corrida-4148836
Santiago Pelayo Leon, 8 - Madrid (à l'intérieur, au niveau du col, sur étiquette tissée et cousue )