Ce tambour est taillé dans un tronc d'arbre puis évidé grâce à deux ouvertures rectangulaires. La partie médiane qui sépare les deux ouvertures rectangulaires est fendue longitudinalement. Ses flancs sont gravés au feu en de petits pointillés disséminés.
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
Tambour dont la percussion est faite sur les flancs et sur la partie médiane. Son usage nécessite cependant des mailloches en forme de gourdins. Ils sont désignés généralement sous le terme de « lam » qui signifie éléphant. Ils peuvent avoir en effet des dimensions gigantesques. Chaque lam est déposé généralement sur un socle de grosses pierres ou de madriers, à l’intérieur de l’une des huttes à claire voie qui jalonnent la place du marché ou sous l’auvent d’une case du palais. Les membres des groupes auxquels appartient le tambour se rassemblent dès que le son se répercute dans la campagne. Il ne s’agit que de tambours bitonaux d’appel qui ne transmettent pas de véritables messages sauf chez certaines populations.
"Chez les Fang, le nkul est accompagné d’autres instruments : des
xylophones, des claves, des membranophones, des trompes et des flûtes.
La danse des masques se présente comme une partition complexe dans
laquelle chant, gestuelle et langage des tambours de bois s’interpellent.
Mais ce sont les tambours de bois qui contrôlent et envoient les messages
aux danseurs." (http://www.museevirtuel.ca/edu/ViewLoitDa.do;jsessionid=206D1A5E5C6F51B6E111BB03E8255293?method=preview&lang=FR&id=17702)
H.80 (en blanc)