Masque traditionnel représentant un phacochère.
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
Pièces du Vénézuéla obtenues par M. et Mme Cadilhac entre 1960 et 1986 auprès des amérindiens et de collectionneurs.
Le warime est une cérémonie annuelle qui intervient au début de la saison des pluies. Les chants et les danses rappellent les évènements de l’année ainsi que les récits mythiques des origines. Selon la mythologie, les ancêtres proviennent de la terre et vivaient dans des huttes notamment sous la montagne Mariweka près du fleuve Cuao. Le premier être Buoka créa les mots et le vent et donna la vie à plusieurs membres de sa famille dont son frère Wahari, père des hommes. Le warime réactive notamment l’histoire de l’affrontement entre l’anaconda, Kuemoi et Wahari (sous la forme d’un tapir). Ce dernier, pour se soustraire à son prédateur se dissimula derrière différents masques zoomorphes allant de hutte en hutte .
Chaque année, à l’écart des regards des non initiés, les chamans façonnent les masques qui sont portés pour la danse du Huirame. Cinq hommes en costume sont chargés d’évoquer l’esprit de l’imé (le pécari), du singe blanc (jicù) ou encore de l’esprit suprême de la forêt, le reyo (l’abeille sauvage) aux sons des maracas et des flûtes.
Le chaman, paré de sa couronne et de son collier entre ensuite en relation avec les esprits mythiques.
2005.22.13
Pièces du Vénézuéla obtenues par M. et Mme Cadilhac entre 1960 et 1986 auprès des amérindiens et de collectionneurs.
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