9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
9, place Gambetta (cœur de ville)
17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
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17310 Saint-Pierre-d’Oléron
Ouvert - dimanche : 14h - 18h
05 46 75 05 16
L'objet provient du caveau nord qui abritait la sépulture d'une jeune adolescente (?).
Découverte fortuite de Claude Nivert (Société Ragonneau-Lafarge) en 1997. Fouille Henri Duday (Cnrs) et Bernard Farago-Szekeres (Afan) en 1998
Des caveaux ont livré les sépultures de deux femmes de l’aristocratie pictonne, inhumées sur leurs terres, en cercueils de plomb et sarcophages de pierre.
L’un a livré le corps d’une femme adulte accompagné de deux paires de sandales, d’une cruche en bronze et d’une amphore orientale. Le sarcophage portait la marque d’un chrisme sommaire.
L’autre contenait la dépouille d’une enfant de dix ans et conservait, selon la tradition romaine, des trésors d’effets personnels : flacons de toilette réunis dans un coffre et, à l’intérieur d’un coffret, le petit buste d’un jeune prince, de la vaisselle miniature, des coquillages, pions de jeu, coupelles à encens et verres rhénans. Plusieurs tissus de soie et d’or somptueux (de Palmyre ?), recouvraient les corps.
Cette découverte extraordinaire apporte un éclairage nouveau sur les élites du Poitou romain et leur chris-tianisation, à proximité de la capitale, Limonum.
L'objet provient du caveau nord qui abritait la sépulture d'une jeune adolescente (?).
Découverte fortuite de Claude Nivert (Société Ragonneau-Lafarge) en 1997. Fouille Henri Duday (Cnrs) et Bernard Farago-Szekeres (Afan) en 1998
Des caveaux ont livré les sépultures de deux femmes de l’aristocratie pictonne, inhumées sur leurs terres, en cercueils de plomb et sarcophages de pierre.
L’un a livré le corps d’une femme adulte accompagné de deux paires de sandales, d’une cruche en bronze et d’une amphore orientale. Le sarcophage portait la marque d’un chrisme sommaire.
L’autre contenait la dépouille d’une enfant de dix ans et conservait, selon la tradition romaine, des trésors d’effets personnels : flacons de toilette réunis dans un coffre et, à l’intérieur d’un coffret, le petit buste d’un jeune prince, de la vaisselle miniature, des coquillages, pions de jeu, coupelles à encens et verres rhénans. Plusieurs tissus de soie et d’or somptueux (de Palmyre ?), recouvraient les corps.
Cette découverte extraordinaire apporte un éclairage nouveau sur les élites du Poitou romain et leur chris-tianisation, à proximité de la capitale, Limonum.
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