bateau à voile - MMLR.008.619
Fox Uffa

Dériveur léger en double de type Firefly de 1946 du nom de Dreamboat. Coque en forme semi pontée en contreplaqué moulé, lamellé collé par Fairey Marine, tableau en acajou, mât en aluminium avec restreint en spruce gréé en sloop avec haubans et étai. Dérive pivotante et numéro de série 1676. Protégé au titre des Monuments Historiques le 06/02/2018.

9, place Gambetta (cœur de ville)

17310 Saint-Pierre-d’Oléron

Ouvert - dimanche : 14h - 18h

9, place Gambetta (cœur de ville)

17310 Saint-Pierre-d’Oléron

Ouvert - dimanche : 14h - 18h

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17310 Saint-Pierre-d’Oléron

Ouvert - dimanche : 14h - 18h


Caractéristiques

Numéro d’inventaire
MMLR.008.619
Domaine
marine - sciences - techniques
Autre(s) numéro(s)
PPL012
Dénomination
bateau à voile
Appellation historico-commerciale
Firefly
Nombre d’exemplaire
1
Lieu de découverte - de collecte
Bordeaux (Gironde, ville)
Date de découverte
2004
Précisions sur la collecte

Bateau en dépôt du Conservatoire de la Plaisance de Bordeaux de 2004 jusqu'en 2016

Auteur, exécutant
Fox Uffa - architecte-concepteur
Date d'exécution
après 01.01.1948
Siècle ou millénaire
2e quart 20e siècle
Précisions sur la genèse

Dès la fin de la guerre Chichester-Smith demanda à Uffa Fox de dessiner un dériveur de 12 pieds. Fox se contenta de rayer sur son plan le nom de Sea Swallow (1938) et de le remplacer par Firefly, en hommage à l’avion de chasse construit pour l’aéronavale. Ainsi naquit la première vraie série industrielle de dériveurs et ils étaient si solides qu’un grand nombre navigue encore.

Pour les Jeux Olympiques de 1948 en Grande Bretagne,  peu de dériveurs étant  disponibles,  on choisit le Firefly,  facile à construire en nombre. Les Jeux eurent lieu à Torquay et Paul Elvstrom remporta sa première médaille d’or pour ses vingt ans en solitaire sur un Firefly dans de rudes conditions . L’utilisation du Firefly en simple alors que c’était un dériveur en double, et l’expérience d’une semaine très venteuse conduisirent à choisir pour les Jeux de 1952, le Finn.

 

Précisions sur la datation
Le Firefly du nom de "Dreamboat" a probablement été construit vers 1955 par Fairey Marine (Hamble, Hamshire) car il est doté d'une plaque en laiton fixée sur le tableau arrière
Utilisation
plaisance
Précisions sur l'utilisation

Restauration : A.F.P.A. de Rochefort en 2007 sur le puits de dérive
Bateau en état : Complet, navigant, exposé.

A participé aux rendez-vous de l'Erdre en 2012.

Fait partie de la collection exposée "petite plaisance" au musée maritime de La Rochelle depuis 2017.

 

Lieu d'utilisation
La Rochelle (Charente-Maritime, ville)
Matière
bois - acajou - aluminium - tergal - contreplaqué - corde - métal
Technique
lamellé collé - assemblé - usiné - moulé
Dimensions et formes
Coque et mât : H. 625 ; L. 366 ; P. 140 ; Pds. 74 kg Surface de voile 9,50 m²
Type d’inscription
Plaque du constructeur
Transcription des inscriptions

Coque : 1676 (gravé dans l'intérieur du tableau) Firefly (adhesif blanc, poupe, bâbord) Dreamboat (adhesif blanc, poupe, tribord) 

Voile : F | 1676 (imprimé noir deux faces, h. c.)

Sujet représenté
bateau à voiles
Localisation de l'objet
musée maritime (La Rochelle, bât.)
Propriétaire, type de propriété
Musée maritime de La Rochelle, propriété de la commune
Mode d'acquisition par le musée, date d'acquisition
don, 2016
Précisions administratives
Mis en dépôt par le Conservatoire de la Plaisance de Bordeaux en 2004 jusqu'en 2016
exposition
Littérature grise
12_Global_2017_FireflyV3
Collecteur
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Lieu de découverte
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Date de découverte
2004
Précisions sur la découverte

Bateau en dépôt du Conservatoire de la Plaisance de Bordeaux de 2004 jusqu'en 2016


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Mention légale
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